L’été enfin arrive…
Pourquoi la plus douce des saisons porte le nom d’un participe passé ?
Ne serait-il pas plus pertinent de l’appeler l’étant,
Temps de l’être – présent – au paroxysme de sa potentialité après les rabougrissements de l’hiver ?
Les temps meilleurs sont là.
Ne bougez plus :
− Soleil !